« L’Histoire de l’humanité a démontré que la richesse ne peut pas se passer de la pauvreté » GP
« On appelle Viking (Víkingr, en vieux norrois) un commerçant de longue date, remarquablement équipé pour cette activité, que la conjoncture a amené à se transformer en pillard ou en guerrier, là où c’était possible, lorsque c’était praticable, mais qui demeurera toujours quelqu’un d’appliqué à afla sér fjár (“acquérir des richesses”). » Vikings
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Les hommes politiques ne luttent pas pour fignoler la vie et les pays, mais pour se battre entre eux. En équipes… Un beau sport que la politique: c’est nous le ballon, et le pays est le terrain. La pauvreté a coups de pieds, et dans l’estrades des spectateurs-payeurs. J’ai l’impression parfois que l’on vote pour une démocratie flegmatiquement venimeuse. Quand vous faites un crochet sur un bulletin de vote, vous dessinez un serpent.
Monsieur de Couillard est allé en Chine pour vendre le porc du Québec: Ils ne l’on pas gardé… On aimerait toutefois aimé le voir embroché.
Monsieur de Sarkozy s’est oxygéné au point qu’il sort des ballons de sa bouche. Élit-Homme. Homme déjà élu… Au bal on va… Il se voit déjà dans sa soupe de pouvoiré. Quant au lymphatique Obama, il a ce petit air anémique des gens qui ont hâte d’en finir avec leur JOB. Le Président des U.S.A, c’est le nom d’une rue…
Leur vie est une grammaire étriquée: sujets-verbes-compliments.
palimpseste :Support sur lequel on écrit, susceptible d’être effacé après usage.
C’est beau les mots… Car ils permettent de retrouver le vrai sens des choses et des êtres:
Après usage de la clique abonnée à la bourse, ils s’en va se repaître dans leur paradis. L’Histoire des gens simples est triste et barbarisée parce que les sots, munis de parchemins qui époustouflent, n’ont pas de route à nous donner, sauf la leur… On épluche les humains comme des pommes de terre.
L’asphalte fait partie de leur CV. Black and roll… Plus tard, ils auront le nom d’un pont, d’une rue, d’un aréna, avec un trait entre leur nom et leur prénom. Mais bon!… Ils méritent peut-être une ruelle. Ou le nom d’un dépotoir…
L’autodafés
Le 10 mai 1933, le mouvement atteint son point culminant, au cours d’une cérémonie savamment mise en scène devant l’opéra de Berlin et dans 21 autres villes allemandes : des dizaines de milliers de livres sont publiquement jetés au bûcher par des étudiants, des enseignants et des membres des instances du parti nazi. Ils constituent lesautodafés
C’est… brûlant d’actualité. Les États ou pays dits développés brûlent inconsciemment toute réflexion des artistes, écrivains, penseurs. Ils les ignorent. De sorte que nous nous retrouvons dans un monde complètement A-Historique, Alzheimer, décousu, et brûlé par l’ignorance. Bref, ce qui pourrait humaniser ce qui est humain est effacé.
Le résultat est que nous évoluons par des savoirs technique, mais nous stagnons par des rejets de connaissances humanistes. L’avoir a bouffé l’être. L’avoir veut bouffer la richesse de la différence. De sorte que le monde est une vaste Shoah filandreuse et sournoise.
De sorte que dure et perdure les gens de pouvoir pour le pouvoir. On brûle tout ce qui nourrit l’intellect et l’âme pour une maîtrise totalitaire des humains au profit du profit.
Un monde sans culture, sans philosophie, ne se livrant qu’au bas marchandisage d’une matière première vivante, finira par nous mourir. Le barbarisme est un abrutissement CONTINU… Peu importe les formes. Et c’est bien là l’horreur de l’Histoire: modeler aux fins de tromper.
Gaëtan Pelletier
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