L’idéal musulman n’a rien d’humain : on n’égorge pas les hommes et les moutons pour apaiser la colère du divin.
Là où des peuples non-musulmans s’abreuvent de savoir, d’autres, les musulmans s’abreuvent de sang. Et le plus ubuesque dans l’histoire est que ces derniers rêvent de dominer les premiers alors que, sans eux, ils seraient encore dans la protohistoire. Qu’ils commencent déjà par assumer leur destin humain, maîtriser leurs pulsions de mort et cesser leurs actes de cruauté envers les animaux avant de se voir les futurs maîtres du monde.