Notre journaliste Harold Gagné a assisté à un exercice de prévention dans le métro de Montréal.
Lors des simulations, on utilise de la fumée comme celle que l'on voit lors de spectacles. L'huile est chauffée à très haute intensité sur une locomotive.
Pour faciliter l’évacuation des passagers, un logiciel déclenche automatiquement d’énormes ventilateurs pour dissiper la fumée. Le vent souffle à une vitesse de 40 à 50 km/h.
Quelque 84 postes de ventilation ont aussi été installés pour réduire la chaleur qui peut transformer les tunnels en véritables fours. En 1971, un opérateur est mort calciné à la station Henri-Bourassa à la suite d’une fausse manœuvre.
Le système pourrait être d'un grand secours en cas d'attentat terroriste comme celui au gaz sarin qui a fait 12 morts dans le métro de Tokyo, en 1995.
D'ailleurs, en septembre 2001, un attentat au gaz lacrymogène a été rapidement étouffé à la station Berri-UQAM. Grâce aux ventilateurs, les gaz ont été dissipés en seulement 80 secondes
SOURCE
Lors des simulations, on utilise de la fumée comme celle que l'on voit lors de spectacles. L'huile est chauffée à très haute intensité sur une locomotive.
Pour faciliter l’évacuation des passagers, un logiciel déclenche automatiquement d’énormes ventilateurs pour dissiper la fumée. Le vent souffle à une vitesse de 40 à 50 km/h.
Quelque 84 postes de ventilation ont aussi été installés pour réduire la chaleur qui peut transformer les tunnels en véritables fours. En 1971, un opérateur est mort calciné à la station Henri-Bourassa à la suite d’une fausse manœuvre.
Le système pourrait être d'un grand secours en cas d'attentat terroriste comme celui au gaz sarin qui a fait 12 morts dans le métro de Tokyo, en 1995.
D'ailleurs, en septembre 2001, un attentat au gaz lacrymogène a été rapidement étouffé à la station Berri-UQAM. Grâce aux ventilateurs, les gaz ont été dissipés en seulement 80 secondes
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