dimanche 26 mai 2013

Le meurtre du soldat anglais a bien été bidonné...


Quelques semaines après le false flag de Boston, il semble que la Grande Bretagne expérimente elle aussi la technique du coup monté visant à accuser des islamistes fanatiques. Le public étant prêt à gober les mensonges incroyables de la version officielle, cela laisse le champs libre à toutes les manipulations possibles et imaginables.



Il y a quelques jours, les médias montraient les images sordides d'un prétendu islamiste qui venait de décapiter un jeune soldat anglais.

Après enquête, les chercheurs de vérité ont relevé plusieurs incohérences qui décrédibilisent  le récit proposé par les médias.
Tout d'abord, la victime n'a pas été décapitée, les badauds ne semblent pas affolés alors qu'un meurtre sanglant se serait déroulé sous leurs yeux. Une femme passe même à côté d'un des tueurs tandis que d'autres discutent avec eux.

Fait surprenant, une femme s'allonge prés du corps de la victime (les médias expliqueront que c'est pour le protéger). Et enfin, les tueurs que l'on présente comme des islamistes fanatiques parlent avec un accent londonien,  ils seraient en fait de religion chrétienne et auraient étés approchés par les services secrets anglais. Les médias racontent qu'ils ont attendu la police 20 minutes avant de les attaquer avec leurs haches et leurs couteaux.

Toutes ces incohérences avaient de quoi éveiller une certaine suspicion, voici maintenant la preuve définitive qui démontre que cette histoire n'est qu'une manipulation de plus. Dans la vidéo relayée par les médias, le tueur qui parle à la caméra a les mains tachées de sang, dans la vidéo originale ses mains sont propres. Le sang résulte d'un ajout ultérieur, un examen attentif des images suffit à révèler la grossièreté du trucage.

Tout le récit présenté par les médias est donc à prendre avec des pincettes, en l'état actuel des choses, il est fort possible que l'un des prétendus tueurs ai profité d'un banal accident de la route pour construire un récit destiné à choquer l'opinion publique.

Quelques jours après cette affaire, un fait divers similaire survenait en France, cette fois c'est un soldat français qui failli être égorgé dans le quartier de la Défense. Comme pour le fait divers de Londres, l'affaire fut traitée comme étant un acte de terrorisme domestique.



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