lundi 26 janvier 2015

Relaxez...

Citation...

Laissons les Juifs, qui proclament être le peuple élu, prouver leur titre en choisissant le chemin de la non-violence pour revendiquer leur position sur terre.

- Mahatma Gandhi

Soleil...

Les 12 signes du zodiaque réinventés...

Ce n’est pas parce qu’un personnage a toujours été présent qu’il n’existe pas de nouvelle manière de le réinventer. Damon Hellabrand, un artiste talentueux basé aux USA, a créé une série d’images qui représentent les signes du zodiaques comme des créatures difformes et surréalistes sorties tout droit d’un royaume cauchemardesque.
Hellandbrand réalise la plupart de son art grâce à de nombreux logiciels d’illustration digitale. Cependant, certaines illustrations sont nées à partir de dessins au crayon ou d’aquarelles – ou “simplement n’importe quelle technique, qui me fasse envie.”
Plus d’info: dhellandbrand.com | DeviantArt
Bélier
1
Taureau
2

Science fiction ou actualité...

Avons nous d'autres politiciens
qui ont assez de colonne dorsale pour réitérer ce message dans notre 
province et dans notre pays??? LE MAIRE qui refuse de retirer PORC du 
menu de l'école ... EXPLIQUE POURQUOI

Soldat américain...oupss désolé Ukrainien...

Les musulmans devront accepter humour et laïcité, dit une journaliste...

Les musulmans qui vivent en France et dans les sociétés occidentales devront accepter le sens de l'humour et se plier à la laïcité s'ils souhaitent véritablement s'intégrer aux sociétés démocratiques au-delà du discours superficiel.










De passage à Montréal lundi, la journaliste Zineb El-Rhazoui, qui n'était pas en France le 7 janvier dernier lors du massacre de la rédaction de l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo où elle travaille, a livré en conférence de presse un plaidoyer en faveur de la laïcité et de la liberté d'expression.
Selon elle, si les musulmans veulent être traités comme tous les autres dans leurs sociétés d'accueil, ils doivent justement s'habituer à être traités comme tous les autres.

dimanche 25 janvier 2015

Pourquoi 9 sur 10 vont mourir lors du chaos...



Il est certaines réalités qu'il ne sert à rien de cacher, quitte à passer pour un oiseau de malheur, un incorrigible pessimiste ou un vil profiteur de la détresse humaine.

Ceux qui lisent régulièrement ce blog savent à quel point le réalisme et le pragmatisme sont des notions qui me sont chères, même s'il faut aller pour cela contre les idées généralement admises dans le milieu survivaliste.

Parce qu'il n'est pas non plus dans mon tempérament de redouter les critiques et autres calomnies, voici un nouvel aperçu de la réalité, crue et dure, du chaos à venir...

Quand les loups changent les rivières…



vue ici

Il était une fois...

Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage.
Éclaire-moi sur le Sentier de la Vie, demanda le Prince.
Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t'en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi.
Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie.
Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire :
"CHANGE LE MONDE"
C'était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d'autres ne me conviennent pas.
Et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent. Bien des années passèrent.
Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :
Qu'as-tu appris sur le chemin ?
J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas.
C'est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise.

Et il disparut.
Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire :
"CHANGE LES AUTRES"
C'était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume et de frustration.
Et il s'insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat. Bien des années passèrent.
Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :
Qu'as-tu appris sur le chemin ?
J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n'en sont que le révélateur ou l'occasion. C'est en moi que prennent racine toutes ces choses.
Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Sois reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir.
Et le Vieil Homme disparut.
Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots :
"CHANGE-TOI TOI-MÊME"
Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c'est bien ce qui me reste à faire, se dit-il.
Et il entama son troisième combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal.
Après bien des années de ce combat où il connut quelques succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda :
Qu'as-tu appris sur le chemin ?
J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser.
C'est bien, dit le Sage.
Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de me battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise.
C'est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d'aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru.
Et il disparut.
Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la troisième porte et s'aperçut qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait :
"ACCEPTE-TOI TOI-MEME"
Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi la porte la première fois, dans l'autre sens.
Quand on combat, on devient aveugle, se dit-il.
Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer.
Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :
Qu'as-tu appris sur le chemin ?
J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c'est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même. J'ai appris à m'accepter moi-même totalement, inconditionnellement.
C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la troisième porte.
À peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut :
"ACCEPTE LES AUTRES"
Tout autour de lui il reconnut les personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie. Celles qu'il avait aimées et celles qu'il avait détestées. Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir(*) leurs imperfections, leurs défauts , ce qui autrefois l'avait tellement gêné et contre quoi il s'était battu.
Il rencontra à nouveau le Vieux Sage.
Qu'as-tu appris sur le chemin ? demanda ce dernier.
J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en accord avec moi-même, je n'avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux. J'ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement.
C'est bien, dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse. Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.
Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut :
"ACCEPTE LE MONDE"
Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette inscription la première fois. Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur Perfection.(**) C'était pourtant le même monde qu'autrefois. Était-ce le monde qui avait changé ou son regard ?
Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :
Qu'as-tu appris sur le chemin ?
J'ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai. Il est là ; il existe ; c'est tout. Ce n'était pas le monde qui me troublait, mais l'idée que je m'en faisais. J'ai appris à l'accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement.
C'est la troisième Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde.
 
Un profond sentiment de Paix, de Sérénité, de Plénitude envahit le Prince. Le Silence l'habita.
Tu es prêt, maintenant, à franchir le Dernier Seuil, dit le Vieux Sage. Celui du passage du Silence de la Plénitude à la Plénitude du Silence. 

Et le Vieil Homme disparut.
Charles Brulhart
www.metafora.ch

Notes :
(*) "voir" au sens de noter et juger, en s'en irritant.
(**) Il faut ici comprendre la Perfection des LOIS qui régissent toute chose, plus que la perfection des choses elles-mêmes.



« Sans doute tout ceci peut sembler une étrange voie à suivre. Elle me parait cependant valable à cause de ce curieux paradoxe qui fait que c'est au moment où je m'accepte tel que je suis que je deviens capable de changer. Je crois que c'est là une leçon que j'ai apprise autant au contact de mes clients qu'à travers mon expérience personnelle : à savoir que nous ne saurions changer ni nous écarter de ce que nous sommes tant que nous n'acceptons pas profondément ce que nous sommes. C'est alors que le changement se produit, presque à notre insu. »

Carl Rogers

Source :
Leçons de vie de Carl Rogers

samedi 24 janvier 2015

Citation...



Chacun doit aller sur le chemin qu il peut voir en lui. Il faudra probablement encore du temps jusqu’à à ce qu ils comprennent que ce qui est éphémère n apporte que des joies et des satisfactions éphémères, et qu ils sont eux-mêmes, de par leur attachement à ce qui est éphémère, la source de la douleur et de la souffrance.

Citation...



Qui me dit que la route d un autre doit être la mienne ? Personne, car j ai ma propre route et elle est pour moi pleine de merveille... Je suis l artisan de mon propre bonheur.

vendredi 23 janvier 2015

Vrac...


Pourquoi ?...



vue ici

Le peuple de Dieu....Pffffff...





Cette information, diffusée par le Centre d’information palestinien, a été reprise par le quotidien catholique (traditionnel) italien Effedieffe du 22/1/2015, sous le titre Soldato israéliano dà dell’acqua ad una 74 palestinese, poi le spara in testa.

À l’été 2014, lors des bombardements israéliens de la bande de Gaza, un soldat de Tsahal s’est approché d’une dame, une Palestinienne de 74 ans, Ghalya Abu-Rida, pour lui donner une gorgée d’eau. Ce cliché allait servir de propagande. Il y a quelques jours, début 2015, le porte-parole de Tsahal, Avichay Adraee, a montré la photographie comme un exemple de l’humanité de l’armée israélienne envers les civils de la bande de Gaza !

Quand la photographie a été prise, le soldat a abattu

dimanche 18 janvier 2015

Le dernier voyage...


Un chauffeur de taxi new yorkais raconte :
Je suis arrivé à l’adresse et j’ai klaxonné. Après avoir attendu quelques minutes, je klaxonne à nouveau. Comme il s’agissait de ma dernière course de la journée, je pensais partir, mais finalement je me suis stationné et puis je me suis dirigé vers la porte et j’ai toqué.
« Juste une minute », a répondu une voix de personne âgée. Je pouvais entendre quelque chose qui traînait sur le plancher.
Après une longue pause, la porte s’ouvrit. Une petite femme de 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette, ressemblant à un personnage de film des années 1940.
À côté d’elle il y avait une petite valise en nylon. L’appartement semblait comme si personne n’avait vécu dedans depuis des années. Tout le mobilier était recouvert de draps.
Il n’y avait pas d’horloge sur les murs, pas de bibelot ni aucun ustensile sur les comptoirs. Dans un coin il y avait une boîte en carton remplie de photos et de verrerie.
« Pourriez-vous porter mon bagage jusqu’à la voiture? » dit-elle. J’ai porté la valise jusqu’à mon véhicule, puis suis retourné aider la femme.
Elle prit mon bras et nous avons marché lentement vers le bord du trottoir.
Elle n’arrêtait pas de me remercier pour ma gentillesse. « Ce n’est rien », je lui ai dit « J’essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée. »
« Oh, tu es un bon garçon », dit-elle. Quand nous sommes arrivés dans la voiture, elle m’a donné une adresse, puis demanda: « Pouvez-vous passer par le centre-ville? »,
« Ce n’est pas le plus court chemin », répondis-je.
« Oh, cela ne me dérange pas », dit-elle. « Je ne suis pas pressé. Je me rends au centre de soins palliatifs. »
J’ai regardé dans le rétroviseur. Ses yeux scintillaient. « Je n’ai pas de famille » reprit-elle d’une voix douce. « Le docteur dit que je n’en ai plus pour très longtemps. » J’ai discrètement arrêté le compteur.
« Quelle route voudriez-vous que je prenne? » Demandai-je.
Pendant les deux heures qui ont suivi, nous avons roulé à travers la ville. Elle m’a montré le bâtiment où elle avait travaillé comme opérateur d’ascenseur.
Nous avons traversé le quartier où elle et son mari avaient vécu quand ils étaient jeunes mariés. Elle m’a fait arrêter devant d’un entrepôt de meubles qui était à l’époque une salle de bal où elle était allée danser lorsqu’elle était jeune fille.
Parfois, elle me demandait de ralentir en face d’un bâtiment particulier ou dans un coin et s’asseyait le regard perdu dans l’obscurité, sans rien dire.
Lorsque le soleil commença à rejoindre l’horizon, elle dit soudain: « Je suis fatiguée j’aimerai que nous y allions maintenant ».
Nous avons roulé en silence à l’adresse qu’elle m’avait donnée. C’était un petit édifice, comme une petite maison de convalescence, avec un portique pour rentrer dans une allée.
Deux infirmiers sont sortis et se sont dirigés vers le taxi. Ils étaient très attentionnés et surveillaient tous les mouvements de la vieille dame. Visiblement ils attendaient son arrivée.
J’ai ouvert le coffre et porté la petite valise jusqu’à la porte. La femme était déjà assise dans un fauteuil roulant.
« Combien vous dois-je? » M’a-t-elle demandé, en ouvrant son sac.
« Rien » lui dis-je.
« Vous devez gagner votre vie », répondit-elle.
« Il y aura d’autres passagers, » ai-je répondu.
Presque sans y penser, je me suis penché et lui ai donné une accolade. Elle me serra fort.
« Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille dame », dit-elle. « Je vous remercie. »
Je lui serrai la main, et me retournai. Derrière moi, une porte a claqué, c’était le bruit d’une vie qui se termine.
Je n’ai pris aucun passager le reste de ma course. J’ai conduit sans but perdu dans mes pensées.
Je n’ai pratiquement pas parlé le reste de la soirée. Que se serait-il passé si cette femme avait eu à faire à un chauffeur en colère, ou à quelqu’un d’impatient et pressé ? Et si j’avais refusé de prendre la course, ou avais klaxonné plusieurs fois, puis parti sans attendre ?
Après réflexion, je ne pense pas avoir fait quelque chose de plus important dans ma vie.
Nous sommes conditionnés à penser que nos vies tournent autour de grands moments. Mais les grands moments sont souvent des jolis petits instants auxquels nous ne prêtons pas assez attention.»
Auteur inconnu

Je vous aime...



SOURCE

vendredi 16 janvier 2015

Lecture...


 À lire, si vous en êtes capables...

Ça...



Crois-tu en Dieu?
Lequel?
Le seul et unique, tu sais, Dieu?
Il y a tant de religions, même officielles, que nous avons l’embarras du choix. Parler du « seul et unique », en ce sens, est affreusement paradoxal.
As-tu un Dieu, quel qu’il soit?
Je n’ai rien en ce sens ni ne m’identifie à une quelconque divinité qui puisse avoir un nom, un représentant ou une institution. Par contre, je sens profondément qu’il y a quelque chose qui m’englobe et que j’englobe à la fois. Nous pouvons l’appeler Dieu, si vous voulez.
Et ton Dieu, qui est-il?
Mon « Dieu » n’est pas un « il », pas plus que ce n’est une « elle ». Mon « Dieu » s’apparente plus à un « ça ».
Et que te demande ton Dieu, exige-t-il quelque chose de toi?
Non. Ça n’exige rien d’autre de moi que d’exister, ce que je fais. En réalité, Ça n’a même pas d’objectif ni de volonté à mon égard – non plus à celui des hommes en général… ou des poissons ou d’une galaxie.
N’y a-t-il pas des Lois imposées par Dieu auxquelles tu te dois d’obéir?
En quelque sorte, mais elles sont inhérentes à son essence. C’est-à-dire que Ça ne fait aucune, mais aucune distinction entre les concepts humains du « bien » et du « mal ». En d’autres termes, Ça ne fait ni la guerre ni ne cherche à l’arrêter. Ça ne cherche même pas à faire quoi que ce soit en particulier, à l’exception, peut-être, d’exister.
L’être humain n’est-il pas fait à son image?
C’est là purement et simplement de l’anthropomorphisme égotique. La grenouille est-elle faite à son image? Le nuage? La comète? Ne confondons pas Ça et les contes infantilisants.
Mais l’homme est la créature la plus évoluée qui soit, bien plus que la grenouille ou le nuage. N’es-tu pas reconnaissant face à ton Dieu – quel qu’il soit – pour le don qu’il t’a fait?
Ça ne fait pas de don, Ça existe. Tout simplement et sans plus. Quant à « l’évolution » dont vous parlez, je n’ai encore jamais vu de grenouilles mettre en esclavage  d’autres grenouilles ou encore faire la guerre pour des raisons géopolitiques ni torturer les siens par simple plaisir. Je n’ai jamais vu, non plus, de nuages déprimés, suicidaires ou s’automutilant. Était-ce bien le sens de votre question?
L’âme de l’homme est certes tourmentée par le péché originel.
Et la femme? Laissez tomber, c’est de la sémantique – presque. Mais le « péché originel » dont vous parlez, il est en « Dieu » aussi?
Bien sûr que non! Il est en l’homme, créature inférieure à Dieu.
Désolé, je croyais que « l’homme » était fait à son image. J’ai dû mal interpréter vos propos.
En fait, c’est plus complexe que ça en a l’air…
Oui, je connais : « Les voies de ‘Dieu’ sont impénétrables ».
Exact!
Ne serait-ce pas là une façon « subtile » de détourner la réflexion authentique – la quête de sens et de vérité – puisque, de toute manière, nous ne comprendrons pas?
Dieu s’expérimente par le cœur, par l’Amour et ne peut être compris que par la grâce divine, la communion intime avec le Créateur de toute chose.
Je vois. Mais, dites-moi, qui a créé le « créateur de toute chose »?
Ma foi, vos questions sont presque insolentes. Seriez-vous donc complètement athée et agnostique?
Parfois, la vérité n’est pas tendre avec les croyances bien ancrées, j’en conviens. Mais me penser athée ou agnostique, c’est ne pas avoir saisi le titre de ce site.
Mais alors, votre dite spiritualité est faite de quoi? 
De Ça.

Ils ont pensés à tout...


Avec ces couches pour adultes, les autorités veulent... (Photo Jay Directo, AFP)
Avec ces couches pour adultes, les autorités veulent s'assurer que les agents n'auront pas besoin de se rendre aux toilettes en cas d'envie pressante, a expliqué à l'AFP Emerson Carlos, de l'Autorité du développement de Manille, précisant qu'un millier de personnes étaient concernées par la mesure.

Ridicule...

Arabie Saoudite: Une fatwa contre les bonhommes de neige

Ces derniers jours, un joli manteau blanc recouvre le nord de l'Arabie Saoudite. Mais que petits et grands ne se réjouissent pas trop vite. Car, à en croire Mohammad Saleh Al Munadjid, un des cheikhs islamiques les plus influents du royaume, ceux qui seraient tentés de confectionner des bonshommes de neige feraient preuve d'un comportement "anti-islamique".

Belle bête du Quebec...


vendredi 9 janvier 2015

Qu'est-ce qu'un "false flag" (attaque sous faux pavillon)...




Wikipedia définit "false flags" comme des opérations secrètes destinées à tromper le public de telle manière que les opérations apparaissent comme si elles sont menées par d'autres entités. Les "false flags" sont de gros mensonges, une déformation grossière et délibérée de la vérité utilisée comme tactique de propagande. Le 11 septembre 2001 est l'exemple parfait d'un "false flag": une attaque perpétrée par un ennemi à la liberté et à la sécurité de la population, ce qui justifie une guerre au terrorisme et qui permet la création de faux conflits religieux et géopolitiques.

Je m adresse à toi, Aventure...

Chère Aventure, je viens dissiper l'opacité nocturne pour me livrer à toi. Par ces mots je t'invite à m'éblouir comme au premier jour, à illuminer mon présent de tes plus vives couleurs. J'ai la fougue et la folie qu'il faut pour te revenir, car aucun autre désir n’enflamme mon être que celui de te Vivre. Enivre-moi pleinement, et, si je puis encore crier "De grâce !" dans l'intensité de joie ressentie, ne m'épargne pas, surtout pas. Entends-tu l'écho de ma résurgence ? Il m'a suffi de faire un pas vers toi pour que l'inertie soit révolue. Et de l'Amour à nos retrouvailles, de l'émanant à l'imminence, je te rejoindrai inlassablement. Puisses-tu me procurer les frissons d'un bonheur extatique, puisses-tu électriser mes sens jusqu'à matérialiser mes rêves. Oui, emporte-moi Aventure, transporte-moi et je te présenterai à nouveau mes amours que sont la Vie et la Nature. Dans notre enlacement permanent je te murmurerai quelle est cette magie qui ravive et élève ma flamme intérieure, et ce sera dès lors un honneur de retranscrire en conscience la subtilité de tes enseignements. Si tu savais l'ampleur des batailles qui ont confronté mes doutes et mes espoirs, si tu savais avec quelle brutalité j'ai atteint le fond, épuisé sous l’amoncellement des obstacles, torturé de par l'exacerbation de ma sensibilité. Corps et âme désaccordés, j'ai frôlé l'ultime déclin. Mais je n'irai pas mourir à grands coups de compromis et de normes établies, seuls tes bras ont cette douce qualité me faisant déjà m'y sentir comme au paradis. L'on pourrait s'obstiner à dire que tu es immatérielle, affirmant qu'il est incorrect de s'adresser à un mot, à une idée conceptuelle, ou plus simplement à "quelque chose qui se vit", mais il n'en demeure pas moins que j'ai confiance en toi, car c'est justement en ton atmosphère d'imprévisibilités et de surprises que je me réalise.

L'être n'est jamais vraiment perdu tant qu'il croit, tant qu'il sait que toute situation coïncide.

Nom de la photographie: "Lorsque l'Aventure nous dévisage"
Parfum d'inspiration: une note d'ylang-ylang venue d'un monde lointain.

Citation...

La première victime de la guerre est la vérité.

- Rudyard Kipling

Citation...

Il y a deux Histoires : l'Histoire officielle, mensongère, qui nous est enseignée, et l'Histoire secrète où se trouvent les vraies causes des évènements, une Histoire honteuse."

- Honoré de Balzac

Citation...

La connaissance est la nourriture de l'âme.

- Platon

Citation...

Comment pourrais-je gouverner autrui, qui moi-même gouverner ne saurais ?

- François Rabelais

Citation...

Ce n'est pas en regardant la lumière qu'on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité.

- Carl Jung

une façon de secouer le pommier...

«  On s’inquiète pour Montréal compte tenu de son caractère multiethnique, compte tenu des [attentats] d’Ottawa et de Saint-Jean-sur-Richelieu » ...« Lorsqu’il y a des mosquées sur ton territoire, malheureusement, il y a des gens plus extrémistes » Yves Francoeur, le président de la Fraternité des policiers de Montréal. - Coderre le maire de Montréal, viens de faire une mise en garde sur l’amalgame fait en France avec le vandalisme des mosquées. - Mais personne n’amalgame. Ce sont eux qui ont crié leurs motifs et leurs appartenances à la gueule de tous. D’ailleurs, au contraire de vous je n’appelle pas ça du vandalisme, mais de la provocation, une façon de secouer le pommier et de faire sortir ceux qui en veulent à nos valeurs. Comme disait l’autre, le mur entre l’Islamisme et l’Intégrisme est bien poreux.

http://incapabledesetaire.com/