Ce qu'il y a de bien ce matin, c'est que quoi j'écrive ça n'aura pas servi à grand-chose, puisque la seule nouvelle qui intéresse la planète ce matin, c'est de savoir lequel du prix Nobel de la Paix ou de l'incarnation vivante du suppôt de Wall Street sera élu Président Of The United States. Comme disait un ami pas plus tard que ces dernières semaines ; « de toutes façons, ça ne changera rien, à la fin ça reste un américain qui gagne ! ». Et ce n'est pas faux, puisque peu importe celui qui sera à la Maison Blanche la semaine prochaine et pour les 4 ans à venir, le marché aura tôt fait d'oublier le sujet et l'économie n'en sera pas transcendée si c'est Obama qui reste (on a vu ces 4 dernières années) et ce n'est certainement pas Romney qui aura la solution miracle.