mercredi 24 février 2016

Qu’est-ce que DIEU ?

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Savons nous de quoi nous parlons? Et quand vous me lisez, croyez-vous que je parle de religion? NON pas du tout.
Quand je parle de Jésus, je parle d’un homme dont les propos sont les plus justes que j’ai jamais entendu. Le fait que je pense qu’il soit réellement un des rare homme à incarner dieu sur terre est mon opinion personnelle.
Quand je parle de dieu, je ne parle pas d’un grand père avec une grande barbe blanche et une grosse voix. Ni d’une lumière perdue dans le ciel avec une grosse voix, ni d’une entité qui a des exigences et qui punit ceux qui ne les écoute pas.
Je ne connais pas le dieu des chrétiens, ni celui des juifs, ni celui des musulmans, ni celui des autres. Je connais celui qui est dans mon cœur.


J’ai reconnu qu’il y avait quelque chose de très louche au fait qu’on soit ici. Que c’était totalement illogique et que s’il y avait quelque chose ici, c’est bien qu’il y avait quelque chose qui l’a permis.
J’ai reconnu sous le nom de dieu cette chose, et j’ai reconnu qu’il était totalement dénué de raison de vouloir comprendre de quoi il s’agit.
Et je rigole quand on tente de m’expliquer ce qu’il veut, ce qu’il dit, ce qu’il pense, ce qu’il fait. Car je pense qu’on ne saura jamais expliquer ce qu’il pense, ce qu’il veut, ce qu’il dit ou ce qu’il fait.
Je pense qu’on a simplement pas les organes pour le comprendre, ou alors si on les a, on ne sais pas les utiliser. Si on les a, ces organes ne sont pas le mental, le cerveau, la rationalité, les calculs, etc…
Je pense que cela se rapproche plus du cœur. De ce qui n’est pas explicable. Ni prouvable. Cela se rapproche plus d’un sentiment. Qui ressemblerait à ce qu’on appelle la foi. C’est comme savoir quelque chose sans pouvoir l’expliquer. Et ça dépasse tous les mots qu’on pourrait utiliser.
Ma conception de dieu dépasse tous les mots que je pourrais inventer. Donc j’en utilise un seul : DIEU.
Quand je dis que certaines personnes sont proches de dieu, et d’autre loin, il ne s’agit pas de distance. Il s’agit plutôt de degrés de compréhension avant de le comprendre vraiment. Et sans parler de réelle compréhension, il s’agit peut-être de degré de sensation, de degrés d’ÊTRETÉ.
Je conçoit dieu comme ceci. Plus on croit s’en approcher, plus on le recherche, et plus on s’en éloigne. Car le mécanisme qui nous permet de « mesurer » notre approche de dieu » est justement un mécanisme qui est là pour nous séparer de lui. Donc dieu ne se mesure pas, il se vit. Et quand on EST, quand on VIT, on est autre chose, on est autrement que ce qu’on est la plupart du temps. On est quelque chose qu’on ne peut pas expliquer, ni mesurer, ni rationaliser.
Dieu est peut-être un état d’être. Un état qui existe en chaque chose. Et qui est conscient. Il est la conscience en nous. Ce qui est conscient en nous et ce qui est conscient en tout ce qui est. Et nous le trouvons quand on permet la conscience de ne pas être « quelque chose »…. enfin ça reste à expérimenter.

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