jeudi 4 juin 2015

Le secret du vide...

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De nos jours, la science dit que l’univers se compose d’innombrables vagues d’énergie.
Et ces vagues, ces ondes, on les trouve en divisant les petites parties subatomiques.
Or, ces petites parties subatomiques, on les trouve en divisant l’atome.
Elles sont si infiniment petites qu’on ne peut pratiquement pas en parler. Il y a sept millions d’atomes sur la tête d’une seule épingle! La quantité de petites parties provenant de sept millions d’atomes est innombrable. Pourtant, que la science ait découvert que


l’univers se compose d’innombrables vagues d’énergie, est une performance incroyable. Néanmoins, d’après certains, il y a derrière ce voile d’ondes d’énergie, encore quelque chose, à savoir: un vacuum, ou ce que le Bouddhisme appelle Sunyata ou vide. Ce vacuum est encore difficile à démontrer scientifiquement mais si, avec un ultra microscope à électrons, on pouvait voir au travers des atomes, des petites parties subatomiques et des ondes, on verrait un espace, un espace total. Cet espace, ce « rien », est la base de tout.
Beaucoup de courants d’orientation bouddhiste appellent cet espace « Conscience ».
Pendant ces leçons Lao-Tseu parlait aussi souvent du Rien.
Un jour un de ses disciples lui demanda: « Maître, je ne sais pas de quoi vous parlez. Comment est-ce possible que tout soit Conscience? Comment est-ce possible que tout provienne de ce Rien? Cela n’a aucun sens! »
Lao-Tseu lui répondit de la sorte: « Vois ce figuier, vas-y chercher une figue. »
Le disciple alla cueillir une figue et la donna à Lao-Tseu.
« Ouvre la figue. » Le disciple s’exécuta. « Que vois-tu? ».
« Des graines », dit le disciple.
Lao-Tseu lui donna un couteau et lui dit ensuite: « Ouvre une graine »
Cela ne fut pas facile car la graine était très petite. Mais au bout de plusieurs fois, le disciple y parvint. Lao-Tseu lui demanda alors: « Que vois-tu maintenant? »
« Rien! Dans la graine il y a un creux, un vide absolu. »
Et Lao-Tseu rajouta: « C’est de ce rien que tout l’univers provient. »
En remerciant Robert Adams, Silence of the Heart

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