La réveil a été brutal samedi matin pour les campeurs du Village Vacances St-Anicet. En effet, ces derniers étaient complètement sous le choc lorsqu'ils on constaté que la tente du terrain voisin avait été complètement désintégrée par ce qui semble être, selon les experts sur place, le résidu d'un météore qui se serait désintégré partiellement lors de son entrée dans l'atmosphère.
L'équipe d'experts médico-légale de la Sûreté du Québec en collaboration avec l'Institut d'Astronomie de l'UQAM sont présentement sur place afin d'essayer de mettre de l'ordre dans ce casse-tête et de mieux comprendre ce qui est arrivé la nuit dernière. Une équipe de psychologues est aussi là-bas dans le but de supporter ceux qui seraient toujours secoués à cause du traumatisme.
Malgré l'interdiction d'entrer sur le site, le journal a quand même réussi s'entretenir avec Kevin B. Runelle, le voisin de terrain le plus proche du campeur décédé. "Il devait être à peu près 4 heures et demie du matin, s'est confié le caravanier. J'ai été réveillé par un genre de sifflement dans le ciel, pis ensuite, ça a fait BANG! Le sol a tremblé un peu pis après, y avait un silence de mort. Tout le monde a fait le saut de voir que c'était ce qui semble être un météorite, ce matin. Il faut dire que celui qui est mort était pas mal un gars de party, si vous voyez ce que je veux dire. Ça fait que tout le monde ici était certain que c'était juste Steve (NDLR: nom fictif pour protéger la famille du défunt) qui avait encore allumé un feu d'artifice en pleine nuit comme il faisait souvent quand il était garlo. C'est pas tout le monde qui l'aimait, disons, ici dans le camping, parce qu'il avait souvent tendance à écouter du heavy metal dans le plafond pis à hurler tout seul jusqu'aux petites heures du matin", a-t-il conclu.
L'enquête se poursuivra encore sur plusieurs jours. À date, aucune trace de matière météorite n'aurait été détectée et la récolte de données semble ardue et compliquée à cause d'une grosse caisse de dynamite éventrée, tout près du cratère, qui bloque le chemin aux enquêteurs.
SOURCE
L'équipe d'experts médico-légale de la Sûreté du Québec en collaboration avec l'Institut d'Astronomie de l'UQAM sont présentement sur place afin d'essayer de mettre de l'ordre dans ce casse-tête et de mieux comprendre ce qui est arrivé la nuit dernière. Une équipe de psychologues est aussi là-bas dans le but de supporter ceux qui seraient toujours secoués à cause du traumatisme.
Malgré l'interdiction d'entrer sur le site, le journal a quand même réussi s'entretenir avec Kevin B. Runelle, le voisin de terrain le plus proche du campeur décédé. "Il devait être à peu près 4 heures et demie du matin, s'est confié le caravanier. J'ai été réveillé par un genre de sifflement dans le ciel, pis ensuite, ça a fait BANG! Le sol a tremblé un peu pis après, y avait un silence de mort. Tout le monde a fait le saut de voir que c'était ce qui semble être un météorite, ce matin. Il faut dire que celui qui est mort était pas mal un gars de party, si vous voyez ce que je veux dire. Ça fait que tout le monde ici était certain que c'était juste Steve (NDLR: nom fictif pour protéger la famille du défunt) qui avait encore allumé un feu d'artifice en pleine nuit comme il faisait souvent quand il était garlo. C'est pas tout le monde qui l'aimait, disons, ici dans le camping, parce qu'il avait souvent tendance à écouter du heavy metal dans le plafond pis à hurler tout seul jusqu'aux petites heures du matin", a-t-il conclu.
L'enquête se poursuivra encore sur plusieurs jours. À date, aucune trace de matière météorite n'aurait été détectée et la récolte de données semble ardue et compliquée à cause d'une grosse caisse de dynamite éventrée, tout près du cratère, qui bloque le chemin aux enquêteurs.
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