samedi 2 août 2014

La signification de l'étoile de David...

Du drapeau israélien aux synagogues, l'hexagramme est désormais omniprésent mais pourtant étrangement il n'a rien à voir avec le judaïsme. Le prédicateur Louis Farrakhan donne la signification de ce symbole occulte. 







Voir aussi :
L'étoile de David ou le sceau de Salomon

Sans aucun doute, l'étoile de David nommée aussi Sceau de Salomon, est reliée intensément à l'occultisme. Cela est un fait très bien connu et indéniable.
Même que ce symbole a été adopté par les Sociétés Secrètes des banquiers internationaux comme les Rothschild, famille très impliquée dans l'occultisme comme la Kabbale et la Franc-maçonnerie. Il est aussi très révélateur que les Rothschild ont participé activement à la création de l'état d'Israël moderne.

Cela est la raison principale pour laquelle le drapeau du pays porte leur symbole magique. Dans son livre THE SIX-POINTED STAR (l'Étoile à Six Pointes), O.J. Graham explique que l'hexagramme était utilisé dans les anciennes religions à mystère. C'était le symbole de Moloch, Astarté, et Saturne. Cette étoile à 6 branches est considérée comme étant le symbole de l'Antichrist, symbole de magie noire qui porte le nombre 666 dans sa composition. Elle comporte six triangles, six côtés ou angles, et six pointes, comme trois six s'insérant les uns dans les autres. Ou d'une autre manière, on relève la présence de six angles à gauche, six angles à droite encadrant six angles au centre de l'étoile. D'une certaine manière donc, avec cet aspect de symbolisme numérique, cette étoile s'apparente à la Marque de la Bête, marque liée au nombre 666.


L'étoile de David ou Sceau de Salomon, composée de 2 triangles équilatéraux, s'inscrit dans un cercle et si un cercle a 360° soit — [60° + 60° + 60°] + [60° + 60° + 60°] — un triangle équilatéral possède 3 angles de 60°, soit [60° + 60° + 60°]. Rappelons que les années Bibliques se calculent sur une base de 360 jours.

Ces mesures permettent de comprendre pourquoi ce signe hautement occulte est lié à la résurrection d'Horus, le Dieu-homme et à la religion à mystères et ses rites initiatiques Babyloniens. Le hiéroglyphe qui représentait Horus ressuscité était une étoile à 6 branches, devenue «étoile de David» par confusion ou assimilation et «Sceau de Salomon» en connaissance de cause!

L'opposition ou l'interrelation qui existe entre les deux triangles figurerait le combat permanent de la lumière et des ténèbres. A la fois mâle et femelle, les deux triangles s'entrelacent pour évoquer l'acte sexuel entre une force active et une passive, selon le schéma infâme du Yin/Yang Chinois bien connu «un peu de bien dans le mal, un peu de mal dans le bien».

Ce schéma ancien d'une dualité Bien/Mal associée à des dieux est inconciliable avec le monothéisme Biblique. Les triangles sont parfois de couleur alternée blanche et noire pour rappeler cette dualité entre Sagesse et ignorance, lumière et ténèbres, Vérité et erreur ou même magie blanche contre magie noire!

Cet aspect sexuel relie directement le «Sceau de Salomon» au caractère phallique de l'obélisque ou pieu sacré.» Il est dit aussi que le triangle pyramidal s'inscrit forcément dans l'étoile car son angle de 42° se place à l'intérieur de celui de 60° et on peut voir par détachement des angles nettement le compas qui coiffe la pyramide et prend de la profondeur avec ces 2 angles où il reste par soustraction -9 et -9 (69-60) en bas dans les angles aigus et le décalage des 2 angles en haut 60 - 42 = 18 (6+6+6).


La relation de l'étoile de David à la Kabbale juive est discutée par le grand magicien et franc-maçon, Éliphas Lévi (1860), dans son «Histoire de la Magie»: «Cette philosophie occulte, voilée sous le nom de Kabbale est indiquée par tous les hiéroglyphes des anciens sanctuaires et des rites encore connus de la Maçonnerie ancienne et moderne.

Le Kabbaliste répète au fond de son coeur, avec «les Sages d'Israël»: Il n'y a qu'un Dieu, et c'est Dieu; ce qui veut dire pour un initié aux vraies sciences: Il n'y a qu'un Dieu, et c'est Dieu; et aussi: Il n'y a qu'un Être, et c'est l'Être, qui interprété selon la science occulte signifie: Ce qui est en Haut, est comme ce qui est en bas; le Tout n'est pas plus grand que la partie, et la partie n'est pas plus grande que le Tout, afin que tous soit Un.»

L'étoile de David est le symbole par lequel l'homme se déclare être Dieu lui-même; et ceci est le destin que se donna le Sionisme Messianique d'Israël. Il n'est donc pas étonnant de voir que l'étoile de David contienne l'essence même du nombre 666 dans sa composition géométrique: six cotés ou angles, six pointes, six triangles.

Nous avons vu qu'elle remonte en fait aux temps anciens de l'Égypte où elle était utilisée dans la magie, la sorcellerie, la divination, l'astrologie et l'occultisme en général. Mais on sait moins qu'elle était aussi associée au sacrifice d'enfants par le feu aux dieux Moloch et Baal.


Dans l'antiquité, le culte du feu (la destruction) était associé au culte du Soleil (l'intelligence), ainsi nous voyons que les enfants des hommes sont marqué pour la destruction par les prouesses de leur intelligence. Ils raisonnent la Parole de Dieu à leur perte, s'imaginant qu'ils peuvent marchander (acheter et vendre) ou coopérer avec Dieu dans le salut de leur âme par leur propre choix ou par les œuvres méritoires de leur obéissance, et c'est exactement là que nous trouvons la vraie marque de la bête.

La grâce ne peut s'acheter ni se vendre, autrement elle ne serait pas une grâce mais une œuvre méritoire, ce qui indique que ceux qui veulent se justifier par leurs efforts, leurs actions (la main), leurs pensées (le front) et tout ce qui en découle comme leurs choix individuels, leur obéissance et leurs bonnes œuvres, ou encore leur grand savoir académique,sont marqués du sceau de la bête et sont perdus pour l'éternité. Ils veulent usurper la souveraineté de Dieu avec leur libre choix illusoire, mais Dieu ne leur laisse aucun choix, tous périront et tous subirons les peines éternelles d'un enfer réel. Telle est la signification de la marque, du nom, et du numéro 666, les trois se rapportent à une seule et même chose à savoir«la justification par les œuvres».


Voici la raison pour laquelle les gens de ce monde, les réprouvés, sont tellement attiré, soit d'une manière positive ou négative, par le fait que la nation d'Israël soit réapparue sur la scène mondiale avec le symbole de l'étoile de David. Il existe une attirance occulte et même irrésistible dans le cœur des gens envers la nation d'Israël moderne et conséquemment envers le symbole de l'étoile de David, tout simplement à cause qu'elle glorifie les efforts de l'homme, ses oeuvres ou obéissances envers la loi, et l'élève comme un Dieu.

Pour la grande majorité des chrétiens, surtout des sectes dites Évangéliques, il se dégage une fierté mystérieuse envers Israël, car ils ont reçu une puissance d'égarement de la part de Dieu pour qu'ils croient au mensonge (2 Thes. 2:11).

Or «l'étoile de David», nommée aussi «le sceau de Salomon» par les occultistes, est un symbole sacré qui provient de la Cosmologie Babylonienne, et fut adopté par les Juifs Talmudistes lors de la déportation à Babylone. Ce symbole du Culte du Soleil Babylonien fut par la suite intégré dans la Kabbale juive, livre de la haute magie qui est la plus pure tradition de l'occultisme, pour devenir l'héritage exclusif de la nation d'Israël. Cette étoile est mentionnée dans Actes 7:43: «Vous avez porté le tabernacle de Moloch, et l'étoile de votre dieu Remphan, des figures que vous avez faites pour les adorer; c'est pourquoi je vous transporterai au-delà de Babylone...»

La désignation de «Remphan» signifie «Saturne», c'est à dire «Satan». La révélation de cela est importante, elle nous indique qu'au temps du Seigneur Jésus, les Juifs, surtout les dirigeants du peuple, avaient apostasiés et servaient le diable plutôt que le Dieu Suprême et Tout-Puissant révélé à Moïses. Cela est confirmé par le Seigneur Jésus qui s'adresse aux Juifs: «Le père dont vous êtes issus, c'est le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il n'a point persisté dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il dit le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur, et le père du mensonge.» (Jn. 8:44)

De même de nos jours, la même étoile nous indique depuis 1948 que tous ceux qui se justifient par leur libre-choix illusoire sont des enfants du diable et sont marqués du sceau de la bête, que ce soit au niveau profane ou au niveau religieux. Il en advient même que nous voyons surgir ici et là des groupes de Chrétiens Sionistes qui se glorifient de cette étoile et la porte fièrement à leur cou, tellement la contagion de la séduction est profonde.

La légende du Sceau confié au roi Salomon par Dieu lui-même appartient à la fois aux traditions juives, chrétiennes et musulmanes. Elle fait de ce Sceau le symbole et l'instrument de sa sagesse surhumaine. Dans l'apocryphe, le livre de la Sagesse, on reconnaît à Salomon, une connaissance infaillible de la structure du monde, des éléments, du commencement, de la fin et du milieu des temps, de l'astronomie, du pouvoir des esprits et des pensées des hommes (Sag. 7:17-21), toutes choses dont il désigne l'ensemble du nom de Sagesse, don de Dieu distinct de la simple intelligence. Il se trouve que toutes les connaissances citées sont en rapport étroit avec la construction et l'utilisation du Sceau, telles que nous le savons envisagées. Un peu plus tard, l'historien juif Flavius Josèphe (37-100ap. JC), citoyen romain, évoque dans ses Antiquités Juives les pouvoirs magiques de Salomon, à qui il attribue même l'écriture de textes d'exorcismes.

L'appellation «Sceau de Salomon» semble, quant à elle, n'apparaître dans la littérature qu'au début du Moyen Age, en relation avec la légende de ce roi. L'étoile à six branches fut transmise aux futurs musulmans dès le sixième siècle ap. JC par les coptes d'Égypte. Elle est clairement associée à la légende du roi Salomon à la fin du huitième siècle. Le Coran, sans citer explicitement l'existence du Sceau, fait une large part à cette légende concernant ses pouvoirs magiques en accordant au roi Salomon (Sulaïmân ou Soliman) un pouvoir divin sur les démons (les shaïtâns, sourates 21:81-82 et 38:36-38) et les génies (les djinns, sourates 27:17, et 34, 12-14).

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