mardi 12 mars 2013

Questionnement...

(texte perso...La justice deviens de plus en plus...monétaire..celui qui c'est fait manger une volée....rien..??)



Mercredi soir au Cap d'Agde, quatre clients d'un restaurant ont violemment frappé le propriétaire. Ils ont été retrouvés un peu plus tard par les policiers.
Mercredi soir vers 23 h 30, quatre hommes qui avaient passé la soirée dans un restaurant, place Terrisse au Cap d’Agde, s’en sont violemment pris au responsable de l’établissement. Il a été frappé sur



 tout le corps et notamment à la tête. Deux d’entre eux sont poursuivis en justice et sont convoqués devant le tribunal le 5 juillet prochain. Les deux autres ne seront pas inquiétés.
Ils ont tout mangé mais critiquent les plats
Tout débute au moment de régler l’addition d’un montant de 298,50 €. Les quatre individus qui ont bien arrosé la soirée, prétextent que le repas qui leur a été servi, est de très mauvaise qualité. Ils ont tout mangé, mais ils refusent de payer. Le patron ne l’entend pas de cette oreille et tente par tous les moyens de récupérer son dû.
Rien n’y fait. Au contraire le ton monte, et pour solde de tout compte, il ramasse une bonne rouste de la part de ses clients. Les mis en cause ont 21, 29, 31 et 34 ans. Ces derniers quittent les lieux en laissant leur victime au sol alors que les employés de l’établissement ont prévenu la police.
Les policiers insultés
Trois policiers de la bac du commissariat d’Agde arrivent sur place et recueillent des témoignages et la description des auteurs et de leur véhicule. Vers minuit, deux d’entre eux sont interpellés dans le quartier du Queyrou. Pour se faire un peu plus remarquer, ils ont copieusement insulté les fonctionnaires de police, depuis leur balcon, quand ces derniers sont arrivés.
Bref, ils sont finalement interpellés et conduits au commissariat pour y être placés en garde à vue. Les deux autres mis en cause, apprenant l’arrestation de leurs collègues se sont rendus eux-mêmes au commissariat et ont été entendus.
Ils règlent...
Finalement et alors qu’ils étaient poursuivis pour violence en réunion, rébellion et outrage envers les forces de l’ordre, ils ont préféré régler l’addition de 298 € pour éviter la grivèlerie qui aggravait un peu plus l’affaire.
La victime, si elle en est pour trois jours d’interruption temporaire de travail, a au moins récupéré l’addition.

SOURCE

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