lundi 3 décembre 2012

Nos dépendances...


Il n’est pas possible de vivre sans avoir une base en provenance des autres. Notre « culture », notre fondation, se fait à partir de l’ensemble dès le premier moment de la naissance. Quelqu’un disait un jour,  qu’il est plus difficile de naître que de mourir…



Hélas! Nous oublions – et c’est bien ainsi la grande difficulté des premières années de la vie où nous refaisons en plusieurs étapes toutes les étapes de la vie de l’Homme.
Nous sommes totalement dépendants du sein d’une mère.
Nous sommes dépendants de l’univers et de la culture qui nous entoure.
Nous sommes dépendants de l’amour donné et reçu.
Le grand miracle c’est d’avoir oublié tout ça.
La grande misère qui nous poursuit est de demeurer le rejeton d’une culture qui n’en finit pas de chercher chez les autres, les groupes, les idées, les « grandes tendances philosophiques », etc.
La partie intuitive de notre être bouffe tout. Notre cerveau décide ….sans vraiment décider, jusqu’au moment où finit par comprendre le mécanisme des intelligences du cerveau et de l’intuition et ses multiples combinaisons. (1)  Si l’intuition a des racines pouvant englober l’Univers, les vies passées, l’histoire, et une somme infinie de connaissances qui nous échappent, le cerveau reste rattaché au « grand bain social » auquel il devra faire face plus tard.
Ou s’y fondre…
Nous sommes nés de ce qu’on nous a donné : amour, connaissances et culture familiale.
Dans toutes les sociétés, la culture sociétaire est présentée comme une culture qui poursuit celle de la famille. Non seulement elle l’est, mais elle se présente comme un abonnissement aux prétendues lacunes des familles occidentales : l’État peut en donner plus que les parents.
C’est la raison pour laquelle, on prend en charge les enfants de plus en plus jeunes pour les mouler au « génie » des structures et des idéologies sociales. On nomme cela éducation…
Bien que cette éducation soit de plus en plus biaisée, étant donné que les sociétés ne cherchent pas le bien-être, mais le bien sans l’être.
L’avoir.
Si un État raté vous donne une éducation orientée vers un pouvoir « discret » qui modélise votre réussite sociale, il peut alors utiliser les valeurs des entreprises privées mondialistes pour vous modeler aux buts fixés.
L’éducation n’est plus alors dirigée vers votre être, mais utilise votre être pour satisfaire les « besoins » d’une compagnie, d’un cartel qui contrôle l’éducation et boudine le savoir réel en vous amputant.
Leur pouvoir est désormais infini.
Pas étonnant que 99,9% de la population n’arrive pas à échapper au beau chapelet en vous vendant « l’indépendance » à travers ses valeurs de possession. Car il faut posséder pour être « indépendant ».
La négritude est sans couleur. La négritude est sans pays. Tout passe par la recette de la réussite et de la valorisation de ce que vous êtes. Et ce que vous êtes ne sera jamais assez puisque les modèles sont vendus en « étages ».
Le roi n’existe plus, mais le PDG, oui. Ainsi, votre « valeur » dépendra d’un « poste », d’un métier encensé où vous utiliserez votre cerveau plus que votre intuition. La recette est comme celle d’un pain gonflé et blanc : 4 tasses de farine, un peu de levain, et une bonne quantité d’eau.
Comment en sortir
La tâche la plus difficile de l’humain est de sortir de ces menottes cachées, camouflées, ces ficelles à la Pinocchio.
« Celui qui est en « haut » a la vérité »
Nous accordons plus de valeur aux gens qui utilisent leur cerveau habile qu’à ceux qui font preuve d’amour sans que parfois nous nous en rendions vraiment compte.
C’est l’ère du neurone.
De la machination. Et celui qui machine est récompensé.
Dans une échelle inférieure il y a le les hypnotisés, les semi-hypnotisés, et les vendeurs d’idées qui brassent et qui brassent en croyant changer le monde.
On a recensé, je crois, 9 formes d’intelligences. Ce ne sont qu’une sorte de code génétique « basic » pour les abonnés du cerveau.
Quant aux formes d’imbécillité,  sont moins  nombreuse, mais étant donné qu’elles ont plus de pouvoir, elles  sont capables de vous décaper du nègre que vous êtes jusqu’au blanchiment total.
L’image.
Et vous l’adorez…
Puisqu’il est normal de s’aimer avant de pouvoir aimer les autres. Et aimer n’est pas un frisson, c’est un art.
De la grande difficulté de retrouver l’intuition perdue à travers ce grand monde d’intellectuels s’évertuant à créer ou à poursuivre de grandes structures de société. Une structure est une machine…
Un clan est un format familial.
La société occidentale
Il n’y a jamais eu autant d’êtres « parfaits » tentant de sculpter des nègres à leurs grands projets. Car tout ce qui est grand est « bon ».
Il n’y a jamais eu autant de nègres fixés sur des « idées », les modelant, parce que « instruits » à la « grandeur », ils ont un pouvoir de manipulation des mots et des idées.
C’est bien ce que veut l’État pour vous : ayez des idées.
Et quand on vous félicitera pour votre habileté à jouer avec les idées, sans trop rien déranger, méfiez-vous!
Un bon nègre peut devenir président des États-Unis d’Amérique …
On vous aura fourni les menottes pour enchaîner tout le monde, mais peu ont accès à la clé.
N’écoutez personne, sauf que toutes les personnes sont en vous. Mais il n’y a que vous qui pouvez reprendre possession de votre être.
 Gaëtan Pelletier

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