mercredi 4 juillet 2012

Nous sommes dans l'absurde



La version officielle sur les événements du 11-Septembre a été martelée si souvent par les médias appartenant à des groupes qui ont financièrement grassement profité de ce drame, que plus personne n’ose la remettre en question sans être écarté comme des pestiférés par les tenants du politiquement correct. Ces événements et la manière dont il fallait les interpréter font penser à ce que disait Abraham Lincoln :




« On peut tromper une partie du monde tout le temps, et tout le monde une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps ».

Il en va de même avec la crise de la zone euro. Voir un complot des tenants du mondialisme dans cette affaire, s’intéresser aux forces qui ont parachuté un Van Rompuy de nulle part, ou s’interroger sur les idées masquées d’un Barroso qui ne fait pas de différence entre communisme et mondialisme, relève de la folie douce, d’un terrible mal… le “complotisme”.
L’Italie doit participer au sauvetage des banques espagnoles en prêtant à un taux inférieur à celui qu’elle doit elle-même payer sur les marchés financiers… Nous sommes dans l’absurde, mais nos têtes bruxelloises n’y voient que du feu ! Des Young Leaders de l’UMP à ceux du PS, c’est la même politique de suicide nationale qui se poursuit. Ces gens-là sont enfermés dans un système de pensée de l’absurde. Ils sont incompétents, déconnectés du monde réel et surtout du sens de l’Histoire… ils sont surtout dangereux pour l’avenir de notre jeunesse. Leur seule parade ? Ceux qui disent la vérité sont complotistes.
Bref, chacun peut constater que plus rien ne va. Les agences de notation continuent de dégrader (2 à 4 crans parfois), les nouvelles économiques sont de plus en plus mauvaises, les plans de relance sont annoncées à la condition que l’Allemagne paie, etc., il n’y a aucune logique constructive. Et pourtant nous assistons à un « CHAOS CONTRUCTIF ».
Tandis que tout plonge, sauf le chômage, les analystes des médias en valeur montent au créneau pour nous servir une analyse consensuelle : « Si les dirigeants ne réalisent pas une nouvelle union autour du projet européen, toutes les initiatives économiques vont se figer, aboutissant à une croissance nulle voire une déflation ; ce sont d’ailleurs les attentes implicites du marché obligataire », écrit par exemple, Louis Bert, président de Dorval Finance.
Le problème n’est-il pas justement le projet européen des synarchistes ? Pour les synarchistes, leurs écoles de pensée et leurs élèves: la crise, le chômage, l’absence de croissance sont la cause d’un trop grand attachement à la souveraineté nationale. Il faudrait diluer le pouvoir des Etats dans un grand machin qui décide de tout. Tout sacrifier pour plus de « sécurité » ? On nous l’a déjà fait par le passé avec Maastricht… Beaux résultats. Belle illusion.

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