Houlala le bon petit Québécois « tout-le-monde-il-est-gentil-tout-le-monde-il-est-fin ». Ne trouves-tu pas curieux que les médias opposent une charte de la laïcité, qui mérite débat, à une magnifique poupoune aux yeux en amandes dignes des milles-et une-nuit, qui aux fins de la cause a enlevé son masque et qui explique à la télévision que c’est la capine-à-tout-prix-sinon-je-me-casse?
Tu n’es pas écoeuré de voir les héritages de tes ancêtres foulés au pied sous le prétexte que ce que la nouveauté est meilleure?
C’est précisément ça la laïcité. Tu n’abandonnes pas la religion! Tu abandonnes l’héritage de tes ancêtres sous le prétexte qu’il possède une origine religieuse. Et tu le fais sous la menace, car la logique de cannibale derrière est que, si tu ne le fais pas, tu verras des capines partout.
Nous sommes au centre d’une campagne d’ingénierie sociale. Grâce aux médias officiels surtout ces nouvelles vitrines internationales (qui a besoin d’un ennemi après tout), nos actions et surtout nos travers sont montés en épingles partout. Tout ce qui est au centre des relations avec les musulmans fait la nouvelle du jour. Ils sont à peine 4 à 5% de la population dans l’ouest de Montréal et ils beurrent tous les médias.
Analyse maintenant les grandes corruptions qui ont touché le Québec depuis 30 ans, et tu y verras toujours de ces influences. Analyse le début des grands changements qui ont touché le Québec, le Canada, les États-Unis, particulièrement en ce qui concerne le pétrole, les télécommunications, le transport et tu verras toujours cet argent. Le pétrole saoudien finance l’immigration musulmane à travers le monde.
Et si ton coeur pleure à la vue de toutes ces injustices auxquels sont soumis ces femmes voilées qui sont admonestées, ces jeunes qui sont forcés à travailler, ces jeunes filles qui sont excisées, alors garde à l’esprit que c’est précisément là le sentiment qu’ils désirent éveiller chez toi, ainsi tu ne diras pas non quand il sera temps de recevoir des réfugiés de crise chez toi, qui incidemment, seront tous porteur d’un chèque et d’une capine sous l’emprise d’une religion dans laquelle le divin sous le représentant d’un imam, est beaucoup plus important que n’importe laquelle de tes lois.
À ce rythme, nous comprendrons vite que l’ordre établi de nos sociétés est beaucoup plus important que des têtes de pipes ramenant du budget dans les colonnes de chiffres d’un administrateur incapable de discerner plus loin que l’endroit où ils pissent.
Le problème est simple. Ces puissants intérêts ont racheté la dette de ton pays aux banques et ils ambitionnent qu’à un moment ou un autre, les sociétés du nord ne pourront plus payer, ils seront alors en droit de réclamer des terres pour ajouter à leur théocratie. La zone jaune et le Dajjal. Dès que la crise s’accélèrera et qu’un certain cycle vital s’affichera, créant chez les nouveaux un malaise qui sera pris comme une crise d’origine divine, ils feront l’appel au ralliement et ils prendront de force les terres en fonction d’une dette qu’ils jugent légitime. Au Québec, ça inclut toute la Rive-Sud et la Rive-Nord jusqu’au Saguenay.
Ils l’ont fait à deux reprises et pour y arriver, ils ont besoin de conserver un atout insoupçonné dans la manche, par lequel ils déstabilisent les communautés avant de les soumettre à une nouvelle échelle de valeurs qui sera imposée par la théocratie. Cet atout relève de connaissances qui ont été occultées et qui tissent un lien capital entre la qualité de vie des populations au long terme et la présence de ces montagnes. Ils en limitent l’apport aux communautés en usant de stratagèmes principalement technologiques comme les éoliennes ou les antennes de toute sorte.
La présence de ces montagnes est au centre d’un « printemps » perpétuel de la communauté, dans laquelle les générations se renouvellent sur les précédentes et ainsi le tissu social se poursuit. En voilant ces endroits, ils créent un automne dans la communauté et force à naître une nouvelle génération d’individus qui remettent en question les valeurs générationnelles. Ce qui apparait être une allusion aux saisons, n'en est pas une, mais c'est un concept élaboré, car avec cet automne-là ils passaient à la cueillette.
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